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Courir après la concurrence, c’est passer à côté de nos clients

Courir après la concurrence, c’est passer à côté de nos clients

Des concurrents qui copient vos statuts, qui prennent presque le même nom que vos produits, qui veulent vous mettre à terre, ça peut arriver !
Depuis 4 ans, certaines entreprises essaient de copier mon style afin d’avoir du succès dans la vente de leurs produits.
Ce serait si facile si c’était comme ça.
Un employé qui nous quitte et va voir la « concurrence » pour lui donner la recette secrète et nos façons de faire afin de nous mettre à genoux ou nous faire faire faillite. C’est un fait réel. Petite parenthèse ici : pour faire faillite, il faut avoir des dettes.
Est-ce que j’embaucherais une personne comme ça ? Non, car c’est un employé qui n’a pas de valeurs et qui va faire la même chose éventuellement. Et que dire de la compagnie qui l’embauche ?
Pendant que ces entreprises veulent nous mettre à terre, ils oublient l’essentiel :
Courir après quelqu’un ou une entreprise c’est d’être en arrière de lui.
Je préfère être à l’affut de ce que les clients veulent en étant à l’écoute plutôt que de changer ma stratégie chaque jour et de démontrer mon manque de vision et de créativité.
Ces entreprises pensent que les clients ne s’en rendent pas compte.
Je m’inspire chaque jour des histoires à succès et de voir comment je peux l’adapter à ma saveur.
Chaque jour, je me lève et je lis vos commentaires en premier lieu et j'échange avec vous. Après je m'inspire d'entreprises à succès et de voir qu'elle a été le déclic. Pas une journée ne passe sans aller m'inspirer.
S’occuper de la concurrence, c’est de conduire une auto en regardant dans les miroirs, en lisant la phrase suivante : « Objects in mirror are closer than they appear ».
Ma vraie concurrence, c’est votre portefeuille. Ma vraie concurrence elle est internationale, c’est ma job de vous convaincre de faire un choix québécois et si je deviens votre choix, c’est que j’aurais été à l’écoute et non parce que j’aurais essayé de rabaisser un concurrent d'ici.
Avec mon cerveau spaghetti, j'ai déjà de la misère à me suivre, je leur souhaite bon succès 😉
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